Le beatbox est révélé comme la cinquième discipline de hip-hop. On va dire que c’est comme le petit garçon qui joue avec ses bandes de petits soldats. Voici l’histoire de BeatBox !

C’est quoi un beatbox ?

On ne peut pas dire que c’est ce que font les gens qui ne savent pas chanter ou bien qu’ils ne savent plus distinguer les instruments de musique, mais on va dire que c’est un feeling des jeunes qui a été apprécié et passe sur le tapis rouge de la course à la musique. On n’a pas besoin d’avoir un corps avec des belles barquettes de muscles pour faire du Beatbox, il suffit de savoir synchroniser les sons que peuvent sortir de la bouche.

D’où vient ce feeling ?

A cause de la population melting-pot des Etats Unis, et spécialement New York et son univers de ghetto, c’est de là que naisse le beatbox. Un son qui se rapproche de quelques éléments d’une percussion, la grosse caisse et le scratch avec les caisses claires sont bien distinguées. Cette matière a bien été exploitée par les jeunes, et les nouveaux morceaux connus sur You Tube sont bien interprétés comme les œuvres de « Pentatonix » qui fait le tour du monde.

Bien qu’au départ, les groupes d’artistes ne peuvent pas se payer des instruments de musique et a usé de ses bouches, le spectacle de « Slick Rick » de l’époque est totalement surprenant. Très vite, on a publié le beatbox, mais aujourd’hui cette culture est revenue et c’est également une renaissance pour l’équipe de Hip Hop. Et maintenant, que les réseaux sociaux sont très libres et visibles dans le monde, les beatboxers sont devenus des stars populaires avec une belle étiquette à l’affiche.

Et si on se communique en beatbox

Il faut dire que cette discipline demande un travail de respiration ainsi qu’une grande passion, parce que sinon, cela fait mal à la tête. Il faut également travailler la corde vocale, et bien sûr avoir le rythme dans la peau.

Mais bien que ce soit une discipline bien matée par les humains, on peut trouver un instrument de musique capable de mixer plusieurs sons de musique, et cela se nomme le Beatmaker. On trouve plusieurs modèles de boite à rythme en ligne, mais les plus connus sont exposés ici avec une belle référence de marque ainsi que ses accords.

Devenir un beatboxer

C’est un métier qui se mérite parce que pour dire que c’est une étape pour ceux qui ne savent pas chanté, c’est un moyen pour s’exprimer enfin de compte. Ah oui, mais les Pentantonix savent chanter les gars ! Alors pour apprendre le beatbox, c’est très facile, il faut imiter le bébé qui gazouille. Alors ici, on ne gazouille pas mais on apprend à énoncer la petite phrase magique « Biscottes, petite biscotte ! ».

Et on va lui donner un rythme sympathique comme font les bébés « Bis cottes, petite bis cotte ». Et en gardant le rythme, on va donner un ton aux consonnes et zappé les voyelles, alors la fameuse phrase va devenir « Bsc’tt, ptt bsc’tt ! ». Oui, vous crachez beaucoup, mais c’est toujours comme cela au début. La seconde phrase sera une merveille et ça vient de « Sidi » le professionnel beatboxer, le « Pourquoi ta capuche, pourquoi t’as pas ta capuche ! ».

Déjà, en prononçant la phrase, c’est la galère, et on dit n’importe quoi après ! Et si on élève les voyelles, alors est-ce que ça fonctionne ? Oui ! Il vous reste qu’à donner le rythme maintenant. Et puis on apprend à scratcher, c’est un peu difficile, mais avec des ongles bien taillés et les doigts propres, on va pouvoir dire « Toukou » trois fois. Et tout s’invente comme cela, mais le mieux c’est de s’abonner sous une chaîne qui vous envoie un beau tutoriel d’un professionnel du Beatbox.

Le beatmaker est un instrument de taille qui se mélange bien dans les orchestres, mais cela s’active également dans les boites de nuit, entre les mains d’un DJ.